Dans un souci de toujours améliorer leur bilan environnemental, les industries membres de l’AIEM travaillent constamment à l’amélioration de leur efficacité énergétique et à la diminution de leurs émissions atmosphériques. Ces efforts soutenus ont porté leurs fruits, car les industries du secteur sont aujourd’hui beaucoup plus propres qu’à l’époque de la création de l’AIEM.

À titre d’exemple, la Ville de Montréal a réalisé, en 2009, un Inventaire des émissions de gaz à effet de serre (GES) de la collectivité montréalaise (disponible ici). Or, cette étude nous apprend que les émissions de GES du secteur industriel montréalais (sur l’ensemble de l’île) ont diminuée de 7 % entre 1990 et 2009. Ramenées à une moyenne par habitant, les émissions de GES du secteur industriel sont estimées à 1,8 tonne de CO2 par habitant, bien en deçà de la moyenne québécoise pour l’ensemble du secteur industriel (2,9 tonnes par habitant).

L’amélioration des procédés de fabrication et de transformation n’est pas étrangère à ces gains d’efficacité et à ces diminutions d’émissions de GES. C’est pourquoi les systèmes, les procédés antipollution et les mesures de contrôle sont là pour rester. D’ailleurs, l’AIEM et ses membres n’hésitent pas à partager les bonnes pratiques environnementales entre eux, au bénéfice de tous.

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